L'amour, le secret de beauté de la magnifique Anggun
L'amour, le secret de beauté de la magnifique Anggun
Bonjour Anggun,
Vous êtes une chanteuse connue dans le monde entier, pouvez-vous expliquer votre début de carrière ?
Anggun: J’ai quitté l’Indonésie à l’âge de 20 ans en pleine gloire. Je voulais me mettre en danger et tenter de mener une carrière internationale. Le destin m’a fait arriver en France et grâce à l’entremise de Florent Pagny, j’ai rencontré le producteur de Céline Dion (Erick Benzi), et ensemble nous avons conçu l’album ‘La Neige au Sahara’. Et vous connaissez la suite.
Qu’est-ce qui vous a donné envie de faire ce métier?
Anggun: Une passion depuis l’enfance. Quelque chose d’organique, de non planifié. En Indonésie, on apprend à chanter et danser en même temps que l’on apprend à parler. D’ailleurs ce n’est pas vraiment considéré comme un métier là-bas. Les Indonésiens sont vraiment très musicaux et il est très courant de voir un jeune faire partie d’un groupe, d’un orchestre, etc. C’est dans la culture.
De plus, mon père était écrivain et m’a éveillée au pouvoir des mots. Cela n’a pas été sans incidence.
Avez-vous suivie une formation ou pris des cours de chant ?
Anggun: Pas du tout. Comme je vous le disais, le chant fait partie intégrante de la culture indonésienne. On chante comme on parle. Les Indonésiens ont une vraie culture de la musique.
Quelle hygiène de vie adoptez-vous? Vous êtes une femme sublime donnez-nous votre secret.
Anggun: Si je vous dis que je ne fais pas grand-chose, vous m’en voudrez ? En toute honnêteté, je ne suis aucun régime particulier et je ne fais pas beaucoup de sport. Ma seule contrainte c’est de manger un peu de tout en petite quantité. De faire attention à l’origine de mon alimentation, privilégier les circuits courts, être soucieuse de la protection de la biodiversité. Et l’amour rend toujours belle vous savez.(rires)
Qu’est-ce que ça fait d’être reconnue à travers le monde ?
Anggun: La célébrité pour la célébrité n’a aucun intérêt. Je n’ai pas besoin de flatter mon égo. En Asie on me présente souvent comme « la plus grande vendeuse asiatique en dehors d’Asie ». C’est flatteur mais ça ne rend pas le monde meilleur. Je préfère mettre ma notoriété au profit d’associations humanitaires qui ont besoin d’exposition, comme Aviation sans Frontières qui permet à des enfants des pays en voie de développement de pouvoir bénéficier d’opérations de chirurgie essentielles à leur survie, ou à La Voix de l’Enfant qui vient en aide à l’enfance en détresse. Là je me sens utile.
Quelles sont les qualités principales pour faire ce métier selon vous ?
Anggun: L’authenticité. Le public ressent le vrai. La persévérance. Les vrais artistes durent sur la longueur. Et la générosité. On fait ce métier pour le public, pas pour soi-même.
Si vous aviez des conseils à donner à nos membres, lesquelles seraient-ils ?
Anggun: Démarquez-vous. Offrez une vraie identité, une vraie aspérité. Ne tentez pas de faire « comme x ou y ». Ce qui fait la différence c’est l’originalité. Faites vibrer votre inventivité et votre créativité.
Nous remercions Anggun, une artiste au grand coeur de nous avoir accordé cette interview.
Vous êtes une chanteuse connue dans le monde entier, pouvez-vous expliquer votre début de carrière ?
Anggun: J’ai quitté l’Indonésie à l’âge de 20 ans en pleine gloire. Je voulais me mettre en danger et tenter de mener une carrière internationale. Le destin m’a fait arriver en France et grâce à l’entremise de Florent Pagny, j’ai rencontré le producteur de Céline Dion (Erick Benzi), et ensemble nous avons conçu l’album ‘La Neige au Sahara’. Et vous connaissez la suite.
Qu’est-ce qui vous a donné envie de faire ce métier?
Anggun: Une passion depuis l’enfance. Quelque chose d’organique, de non planifié. En Indonésie, on apprend à chanter et danser en même temps que l’on apprend à parler. D’ailleurs ce n’est pas vraiment considéré comme un métier là-bas. Les Indonésiens sont vraiment très musicaux et il est très courant de voir un jeune faire partie d’un groupe, d’un orchestre, etc. C’est dans la culture.
De plus, mon père était écrivain et m’a éveillée au pouvoir des mots. Cela n’a pas été sans incidence.
Avez-vous suivie une formation ou pris des cours de chant ?
Anggun: Pas du tout. Comme je vous le disais, le chant fait partie intégrante de la culture indonésienne. On chante comme on parle. Les Indonésiens ont une vraie culture de la musique.
Quelle hygiène de vie adoptez-vous? Vous êtes une femme sublime donnez-nous votre secret.
Anggun: Si je vous dis que je ne fais pas grand-chose, vous m’en voudrez ? En toute honnêteté, je ne suis aucun régime particulier et je ne fais pas beaucoup de sport. Ma seule contrainte c’est de manger un peu de tout en petite quantité. De faire attention à l’origine de mon alimentation, privilégier les circuits courts, être soucieuse de la protection de la biodiversité. Et l’amour rend toujours belle vous savez.(rires)
Qu’est-ce que ça fait d’être reconnue à travers le monde ?
Anggun: La célébrité pour la célébrité n’a aucun intérêt. Je n’ai pas besoin de flatter mon égo. En Asie on me présente souvent comme « la plus grande vendeuse asiatique en dehors d’Asie ». C’est flatteur mais ça ne rend pas le monde meilleur. Je préfère mettre ma notoriété au profit d’associations humanitaires qui ont besoin d’exposition, comme Aviation sans Frontières qui permet à des enfants des pays en voie de développement de pouvoir bénéficier d’opérations de chirurgie essentielles à leur survie, ou à La Voix de l’Enfant qui vient en aide à l’enfance en détresse. Là je me sens utile.
Quelles sont les qualités principales pour faire ce métier selon vous ?
Anggun: L’authenticité. Le public ressent le vrai. La persévérance. Les vrais artistes durent sur la longueur. Et la générosité. On fait ce métier pour le public, pas pour soi-même.
Si vous aviez des conseils à donner à nos membres, lesquelles seraient-ils ?
Anggun: Démarquez-vous. Offrez une vraie identité, une vraie aspérité. Ne tentez pas de faire « comme x ou y ». Ce qui fait la différence c’est l’originalité. Faites vibrer votre inventivité et votre créativité.
Nous remercions Anggun, une artiste au grand coeur de nous avoir accordé cette interview.